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desimal discographie

http://grahammarch.com/ voilà un lien pour l'achat de la discogaphie d'un artiste (qui utilisait les trackers pour faire de la zik l)'argent payer pour ces albums(7 dollars en tout si je me souviens bien)est reversé pour la cause d'une maladie par laquelle je suis touché moi même(schizophrénie).la musique est réellement cool sa s'écoute bien avec un peu de nostalgie car il ne sortira plus d'album

voilà c'étais mon quart d'heure mélancolie

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musicothérapie

desimal ou la dnb immortelle

ai bizarrement eu beaucoup de copains atteints d'à peu près tous les problèmes décrits dans les ouvrages de psychiatrie de l'adulte, et hormis ceux qui sont trop scotchés niveau médocs, un paquet font de la très bonne musique

ça prouve qu'une seule chose c'est que le cerveau musical et son langage fonctionne à peu près de façon séparée du cerveau standard ; ce dernier peut être légèrement problématique, le cerveau musical lui, forme son langage propre, appréciable par bien plus de gens que le cerveau standard,

le cerveau musical permet même à des schizophrènes soit-disant coupés des autres et enfermés dans l'hermétisme, d'être écoutés et suivis plus de 7 minutes suivant une adhésion nettement supérieure, sans jamais larguer leur auditoire

 

 

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oui les medocs sa casse pas

oui les medocs sa casse pas mal je me souviens les premieres années de traitement dur dur plus d'envie de créé seulement un vide permanent c'est clair que desimal c'est un bon exemple de communication par un schizo j'ai pas mal de potes schizo ou autres personnes psychotiques et dans l'ensemble un qui fait de la zik donc je ne peux pas trop dire, la folie une fois passé laisse libre champ a la personne originellement touché et encore pas dans tout les cas j'en ai connu qui passaient et passe encore leur journée a dormir et se lever seulement pour manger!!

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oui

le sport ça peut aider aussi, j'en connais un qui a réussi à se passer de médocs, en faisant beaucoup de sport (sans se crever non plus, niveau moyen, sans rechercher la performance) ; hélas j'en connaissais un qui n'avait pas la "chance" d'avoir un médoc qui marchait (même le lithium faisait pas effet), c'était infernal, les psys ont tout essayé, même des sérums fait maison, il a tenu le coup pendant 4 ans et ... a pris la même décision que desimal... ya un paquet de génies qui ont le même problème, par exemple celui-là, il est passé par la case HP pour psychose maniaco dépressive un certain nombre de fois, mais une fois la crise passée, c'est un putain d'album qu'il va pondre et je le suis sur le circuit depuis... 1997 ! année de la sortie de son premier album déjà excellent, avec un niveau en progression constante.

 

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La Psychologie et la

La Psychologie et la Psychiatrie sont la poubelle de la soi-disant Médecine.

Ils ne guérissent et ne traitent absolument rien, font perdre du temps à parler de tout et de rien, aux gens qui voudraient aller mieux...et pire, les rendent dépendant aux soi-disant médicaments.

Quand, pour X ou y raisons, on a des problèmes à la base, ce n'est certainement pas en allant voir un Psy que ça fait aller mieux, bien au contraire; on parle, encore et toujours et c'est le même principe que d'aller voir une soi-disant Voyante en lui filant son portefeuille...

Ah le médecin, c'est pareil, il va toujours te trouver un truc puisque tu vas le voir à la base parce qu'il y un truc qui cloche...et par dessus cette couche, ils en rajoutent une, celle de leur pseudo-savoir sur le cerveau qui est une vaste fumisterie.

Sans parler de l'influence qu'ils se permettent d'avoir sur la Vie des gens.

On ne connait rien sur rien et plus ça va, et plus les informations recoupées sont fausses et pour cause, la base même de ce savoir est erronée.

Freud se cartouchait à la coco, entre autre...La plupart des Philosophes étaient vraisemblablement des ivrognes.Donc un jour le métabolisme des gens change mais de là à se référer à des concepts aussi délirant qu' Oedipe et compagnie...

Alors on est tous différents mais quand on veut se passer de pillules, je pense qu'on peut. Vaut mieux dans la vie éviter les drogues dures ou l'alcool parce que ça n'aide pas à aller mieux; une fois que c'est fait et que le métabolisme part en couille, faut pas trop s'en étonner et là, en effet, à part se shooter aux médocs et faire un O.D légale...y'a pas grand-chose d'autre à foutre dans la Vie en attendant de crever.Ah si, se trouver une meuf et faire des gosses.Comme ça on crèvera pas seul.

Ce n'est que mon avis. Mais généralement, les gens on une tendance non-négligeable à se détruire et à ensuite s'en étonner...

Faut pas.Tout s'explique; encore faut-il avoir été un jour à l'écoute de son coprs, pour capter ce qu'il se passe quand il meurt.Et oui...ils le diront jamais comme ça les Docteurs...

Gamin, parce que j'étais déjà taiseux, on m'a envoyé voir certains de ces clowns; je jouais au Yam avec eux ,ou aux cartes.Pas envie de parler, encore moins de mes rêves et au final, ce qui compte dans la Vie est de bien penser ; le cas échéant, quand ça ne va pas, faut se trouver une occupation dans laquelle se plonger à fond. Comme ça, pas de gamberge.

Après, si on a hérité d'une "merde" de naissance, c'est délicat...mais globalement, on est à une époque où le fait d'être gros est considéré comme une maladie et je trouve ça comique, de même que l'alcoolisme.Alors les diagnostiques médicaux objectifs, c'est et ça restera longtemps un cconcept...qui n'engage que celui qui l'émet !

C'est le même princpie (pour moi) qui consiste à dire qu'un aveugle est en fait mal-voyant pour ne pas qu'il s'en trouve offensé...

Quand tu bouffes ou que tu picoles, tu sais très bien ce que tu fais...mais tu te fout des conséquences, plaisir immédiat; ensuite, tu pleures mais c'est trop tard.Faut passer à la caisse et le corps humain est sans pitié; plus tu l'as maltraité, plus tu payes.

Et ça aussi, faut le faire passer..."au client"...niveau concept...donc à part filer de quoi t'anesthésier ad vitam aeternam, allrer voir un psy est aussi utile que de pisser contre le vent mais tu leur fais confiance, ils ont de jolis diplômes...tu pars du principe qu'ils savent de quoi ils parlent.

Ce sont des carriéristes, comme tout le monde et tu gobes.au propre comme au figuré.

Diplômes certifiant qu'ils perpétuent la Connerie de leurs ainés en répétant leurs conneries et pire, en enrichissant la base de donnée de leur travail qui...arrêtez-moi...trouve des références dans quoi ? Platon et consorts ? Faut arrêter le délire; la liste des pathologies  ( et les "nouvelles") correspond aux nouveaux médocs mis en vente par les Lobbies du Médicaments...c'est bon quoi...Ah ils vont t'en trouver des problèmes.

Sans déconner... angry

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je ne suis pas tout a fait d

je ne suis pas tout a fait d'accord avec toi j'ai tester sans médicament et ce n'est tout simplement pas possible trop de voix et d'hallucination(avec le diable en particulier) déjà avec le traitement sa m'arrive de temps a autre donc sans je crois que je serais déjà mort apres ce qu'il faut c'est un équilibre santé mentale/santé physique pour tout te dire quand on est schizo on ne fait pas de psychanalise ou toute ces conneries du genre qui peuvent fonctionner pour les dépressifs parce que chez un schizophrenes cela peut provoquer des crises de déréalisation moi perso j'ai été a deux doigts du suicides il y a quelques années au début de mon traitement mais je ne l'ai pas fait parce que je me suis endormis avant de prendre les treizes boites de médocs que j'avais sous la main quand on est un looser on le reste lol maintenant c'est vrai qu'il y a des lobby du medicament j'ai eu un sois disant nouveau neuroleptiques au début et c'était pire mais je ne crois pas qu'il faille diaboliser a ce point là les medocs

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les psys dans le même sac

 

Il faut pas mettre tous les psys et tous les malades dans le même sac ; ya les psys grand public placebo, les psys plus scientifiques / experimentaux ; et ya les dealers de produits pharmaceutiques ;

dans l'ordre,

* les psys "grand public" qui se réfèrent à moitié ou complètement à la psychanalyse, qui passent à la radio / tv, et se font mousser dans les revues ciblées, sont les plus nuls, et ils méritent des tomates, en effet ils jargonnent du jargon qui revêt parfois une forme d'apparence rigoureuse et scientifique, mais quand vous étudiez ça de près, C'EST PAS SCIENTIFIQUE et donc ça relève du caprice de l'auteur de la théorie ; la pratique psychanlytique, vous la connaissez, qui consiste à se souvenir des rêves qu'on a oublié 15 minutes après le réveil, et d'interpréter tout et n'importe quoi comme coucher avec moman et buter popa, pour la définir : c'est simple, elle prend 10 ans avant qu'on l'abandonne, et les progrès réels sont nuls, et même pour les "petits" dépressifs, même pour les "névroses" si tant est que ce terme désigne bien une classe de maladie qui existe vraiment de nos jours ; si vous ne vous souvenez pas avoir couché avec moman ou effectué une tentative d'assassinat sur popa, c'est normal, c'est parce que vous refoulez ces souvenirs ; le refoulement c'est le seule chose qui protège non pas le cerveau des traumatismes, mais toute la psychanalyse de la simple réalité qu'elle relève du caprice de son auteur ; pour info, Freud n'a jamais soigné personne, il a menti sur ce point dans ses ouvrages de référence. Ces psys sont aussi capables que l'étaient les médecins du temps de Molière, du temps des précieuses ridicules, du malade imaginaire, du médecin malgré lui, et du temps du tartuffe.

* dans la catégorie des mangeurs de théories fumeuses, on retrouve des psychologues cliniciens, qui, idéalement, appliquent sur un lit de malade les connaissances issues de la psychologie expéripmentale (voir plus bas) mais finalemejnt et techniquement, "mangent à tous les rateliers", et s'ils sont capables de vous sortir des points de vue philosophiques sympas, d'autres qui ne sont pas validés, ou pas validables, mais aussi copieusement, ils vous sortent tout autant des conneries freudo - lacaniennes, dans un grand tout un peu merdique, et tout ça, au lieu de donner le bénéfice du doute, laisse logiquement penser qu'ils ont mangé un paquet de théories, parfois justes, parfois plus ou moins débiles, et qu'ils les utilisent aussi ; on est malheureusement ici dans l'entre-deux de l'inopérance, et d'ailleurs la référence théorique choisie par la psychologique clinique (psychanalyse) est en partie responsable de l'opinion que les gens se font d'elle : un peu comme l'astrologie, un ensemble bizarre, "placebo", dont on ne saurait déterminer précisément si ça marche ou si ça ne marche pas.

* on a les "cognitifs" à savoir ceux pour qui l'étude de l'esprit se résume à l'étude de la raison, la mémoire, donc, le cerveau effectue des apprentissages et perçoit l'environnement, mais aussi développe des stratégies intelligentes pour organiser l'information dont il se souvient, de façon à peu près correcte  ; donc c'est à eux qu'on doit les tests d'intelligence, c'est très intéressant, mais, ces cons ont complètement déconnecté leur étude de l'esprit, du "langage corporel" et du "choix comportemental" et des "expressions physiques" bref, la notion de "prise de décision" passe à la trappe ; donc, ils voient l'homme comme une sorte de cerveau volant, qui flotte tout seul dans l'air, hem... hormis la capacité de mesurer de la connerie humaine et de vous la situer sur une échelle statistique, ils observent, perçoivent, établissent un image théorique du "mental" en cartographiant précisément les types de souvenirs et les capacités à se les remémorer en plus ou moins de temps à la seconde près, selon l'heure de la journée ou l'heure à laquelle vous avez pris votre repas ; mais le marché qui lui veut une solution pour ses problèmes de peurs, de tristesse et de colère, ... il est à des années lumières.

* d'autre part ya les psys qui ne font pas du tout référence à la psychanalyse, ce sont des psychologues section experimentale & / ou animale, qui bossent plutôt sur des théories type pavlov et comportementaliste. En gros, ils ont réussi à faire saliver un chien en lui faisant écouter un son de cloche à force d'associer l'arrivée de la bouffe à un son de cloche, et ont donc relié de façon scientifique la physiologie du cerveau réel avec la perception de l'environnement et au déclenchement de choix comportementaux même végétatifs ; ces théories expliquent l'efficacité de l'éducation, qui à base de récompenses et les punitions, associent les bons et les mauvais comportements ; outre que leurs théories ont eu une implication dans les programmes de manipulation mentale et de lavage de cerveau pour fabriquer des individus au comportement "formaté" (centres de ré-édications mentale/idéologique soviéto-chinois) , ces psys sont en mesure de décoder tout ce qui vous arrive comme des apprentissages plus ou moins heureux qu'on peut faire ou défaire à force d'associations et de conditionnements. Ces gars sont les plus crédibles du circuit, ils se chargent de vos phobies, et vous les liquident en 5 ou 6 séances, bien plus efficace qu'une thérapie freudienne de 10 ans. Après, ya pas de miracle, l'extrapolation des thèses comportemantalistes a induit et servi des politiques d'oppression idéologique et mentale ; quant au "marché" de la clientèle, il vient en consultation pour des problèmes d'anxiété et de tristesse, ou de colère, et ces sentiments basiques font référence à des souvenirs, qui déclenchent des mécanismes bien ancrés, parfois même des réponses physiques ou organiques, (on appelle ça la psycho-somatique) pas facilement déconditionnables à moins d'avoir les moyens d'un centre du style d'Orange Mécanique.

* On a la psychologie sociale, qui voit les apprentissages les plus importants comme venant de l'identification aux autres et voit les foules masses ou corps sociaux comme des grosses sources d'apprentissages et de conditionnements ; cette psychologie a été suivie de près par les sociétés totalitaires utilisant les mass medias comme outil de propagande, de conditionnement global au service de l'élite. Elle s'intéresse et mesure par exemple, votre niveau de conformité quand vous avez suivi des cours particuliers. Elle s'intéresse à la façon dont l'unité des foules se brise in situ. Elle s'intéresse à la façon dont le mental d'une société perçoit la réalité et s'y adapte. On a aussi la psychologie des groupes, c'est plus restreint. Mais comment en faire un job rentable. Bah on a trouvé. Issu de ces théories expérimentales, et de la connaissance des phénomènes "de groupe" vu comme comme mini-société, on on a certains courants post new age qui vous balancent leurs formations en "développement personnel" idéales pour les déclassés, ou les individus oméga blessés ou ayant un problème avec leur position sociale, et qui se servent de ces jolies théories pour produire des gratifications sociales artificielles (évolutions facile de la position sociale dans un groupe - micro- société bidon, qui suppose l'enfermements sectaire des membres du groupe). On a aussi sur ce sujet une sorte de produit dérivé qui s'appelle la programmation neuro-linguitique, une théorie qui utilise comme vecteur de conditionnement : la parole humaine, avec pour fantasme le fait de pouvoir agir sur les comportements avec des mots-clés, des mots magiques. Ca coute cher, et ça fleure bon le tour de passe-passe, en tout cas, si vous avez affaire à des comédiens qui n'ont pas de parole, c'est pas sûr que toute cette programmation remue vraiment le cerveau en profondeur.

* On a enfin la psychiatrie ; je rappelle à toutes fin utiles, que seul un médecin a le droit de vous soigner et peut espérer vous guérir par traitement médical : tous les autres qui n'ont pas réussi leurs cursus de médecine, et qui se font faire une plaque en métal ambré, qui font croire, qui laissent entendre, qui laissent à supposer que, etc... entretiennent un affreux quiproquo. Le "droit de guérir" par traitement, est réservé au médecin. Point. Médecin, dont la profession est protégée. Ensuite, tout le quiproquo vient du terme "thérapie" qui veut dire OU accompagner, OU traiter Ou les deux : on ne sait pas trop : eh bien, en pratique, un psychothérapeute, ce n'est pas toujours un médecin, et en conséquence, s'il n'est pas en capacité ni de vous soigner ni de vous guérir par traitement, alors dites vous qu'il ne pourra pas traiter vos problèmes mentaux, juste vous "accompagner" (!) et uniquement cela, sans trop savoir d'ailleurs si la route sur laquelle il vous accompagne est la bonne ou la mauvaise, sympa de sa part, non ?  Donc si vous avez un problème mental, qui relève de la chimie du cerveau, et de tout votre système perceptif : les psychothérapeutes non médecins, même avec de jolies plaques, sont relativement incapables d'améliorer votre état. Pour embrayer sur le médecin psychiatre, il a le droit de prescrire les médocs et lui seul ; il adhère plus ou moins aux théories issues de la neurophysiologie, il connaît à peu près toute ce qui relève de la science expérimentale et du comportement, il comprend le rapport entre la perception et la réponse corporelle, la psycho-somatique, le stress organique, et il connaît l'action mesurée de telle substance sur la chimie du cerveau en précision. Il va donc pouvoir prescrire un médoc ciblé pour les problèmes d'humeurs, d'anxiété, ou les problèmes de focalisation de l'attention ou les problèmes de perceptions fausses, si crédibles soient-elles sur le coup. Avantage, l'effet des médocs est pas bidon : il est indéniable. Inconvénient, on en devient vite dépendant ; aussi, un mauvais dosage ou une médoc inadapté et c'est la vie de légume, voire le clash. Enfin, l'approche du psychiatre peut parfois faire penser à une approche de "dealer", finalement, entièrement tourné vers la résolution du symptôme, le psy en oublie d'aider les malades souvent complètement paumés, à retrouver ou à redonner un peu de sens à leur vie ; c'est bien beau de réduire les symptômes, chacun a besoin d'avoir des perspectives.

 

Et pour moi, chaque malade a son psy adapté.

Et le problème c'est quand on ne sait pas identifier dans quelle catégorie on est.

Il y a les malades virtuels, qui simulent, pour être absents parce qu'ils se font chier au boulot. Mais n'ayant pas de troubles réels et juste imaginaires, ils vont bien mais jouent la comédie pour se donner du temps. Ceux-là, peuvent aller faire un tour chez un psychanalyste. Pas de problème : la meilleure réponse à la simulation, c'est la supercherie.

Ensuite, les personnes phobiques peuvent aller voire les comportementalistes. Succès quasi garanti.

Les autres peuvent simplement aller chez le psychiatre : ça va pas être forcément transcendant, ça paraîtra même simpliste, même si certains psychiatres font des gros efforts pour rendre plus riche leur approche de base (faire parler pour identifier la nature du trouble, mesurer sa profondeur, aller chercher dans le catalogue pharmaceutique le produit correspondant, prescrire, donner rendez-vous, et mesurer l'effet du médoc pour augmentter, baisser la dose, ou changer la molécule, et ainsi de suite).

 

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J'ai la sale habitude de

J'ai la sale habitude de généraliser, ça n'était pas contre toi Ostro; je l'ai écris..." par contre, si on a un truc à la base "...

Dans ce cas, en effet...je ne sais pas de quoi je parle et alors il vaut mieux en prendre, des médocs.

Ok, je compatis, ça à l'air d'être bien chaud à gérer sans rien prendre.Tu n'es pas un looser, j'ai fais un T.S quand j'avais 16-17 ans.

Le fait de refuser de vivre ne fais en rien de toi une personne qui a un truc en moins.

J'y suis allé un peu fort avec le lobby des pharmaceutiques mais franchement, ils abusent.

Oui, dans ton cas et  ceux qui souffrent, je conçois mais quand à ne pas les diaboliser, je ne sais pas...ça n'aidera pas à aller mieux et je le déplore.Je pense que ça déplace le problème, voir le mets de côté et un jour, ça pète.

En tous cas, drummerRenoise Rules ! C'est une saine occupation I-m so happy

 

@lapinic: !!! Merci. On le voit de près ton cerveau, là. C'est très pertinent comme d'hab'; tu sais pourquoi je ne rentre pas en détail quand je balance un pavé, c'est plus dans la réaction qu'autre chose.Le point que je retiens concerne le sens de la Vie, car il est question d'Humain ici...

Les Psy ne sont pas des magiciens...et tout n'est pas de la faute du lobby du Médicament... ph34r

Mais globalement, ce que je vois et entend, tout en me disant que je suis au 21ème siècle...je dirais que c'est déprimant :D

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la seule chose

 

La seule chose à savoir, c'est qu'il faut refuser de demander à des gens qui n'y peuvent rien de vous donner des garanties sur des domaines par rapport auxquels il ne sont pas compétents ; par exemple, les experts psys qui ont relâché dans la nature un pervers criminel en découvrant à travers leurs tests qu'il n'était pas dangereux : ne devraient jamais prendre une telle responsabilité puisque leurs tests de personnalité, sont incompatibles avec la notion de docilité sociale ; car la docilité sociale n'est pas l'effet de l'observation d''une personnalité, mais c'est un produit du quotidien, c'est la conséquence d'un comportement acquis, et seuls les comportementalistes purs et durs devraient s'occuper de re-conditionner les délinquants, pas les jargonneurs complètement déconnectés qui vous parlent de personnalité et contemplent votre "structure" mentale, et croient qu'en la décrivant, ça suffit pour traiter tous les problèmes, ceux-là ne sont pas à leur place.

L'industrie pharmaceutique elle son but c'est de vendre ! Après la question à se poser, c'est quoi, c'est pas "est-ce qu'on peut se passer de ce dont on a besoin ?", réponse, bah non. La question àse poser, c'est "est-ce que ça marche", et surtout, maintenant que ça marche, où sont mes perspectives ?

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Ok, mais globalement, niveau

Ok, mais globalement, niveau de l'organe" Cerveau", je me demande qui donc peut être qualifié de compétent.

Les clowns qui relâchent des fous furieux dans la nature...ça arrive plus souvent qu'on ne le croit.Les multi-récidivistes sont légions mais on ne le mets pas trop en lumière.Ca montrerait l'incompétence de ces pseudo-médecins ou "experts".

Le fait est que ça ne marche guère, du moins, c'est mon constat et je peux dire des bêtises.

Comment un malade saurait-il en prenant un traitement journalier qu'à long terme, ça ne lui fera pas plus de mal ?

C'est bien le problème de l'addiction, non ?

On rajoute au besoin; certes, on a besoin d'aide à la base,  mais est-ce pour autant indiqué de se bourrer de médocs... ...

c'est un vaste sujet...intéressant au demeurant. ph34r

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hello les amis,

hello les amis,

 L'étude du comportement et l'analyse du cerveau n'en est qu'au tout début. Croire que l'on peut arriver à comprendre une personne en l'écoutant 2 heures par semaine ou en lui faisant passer une série de tests est tout sauf scientifique! On peut arriver à donner un schéma général du cerveau et de là fournir une piste à chacun d'entre nous pour arriver à nous sentir mieux. Parfois il faut adjoindre des médicaments pour rendre "la vie" à certaine personne "mieux" (que veut dire mieux?).

 Comme dans tous les milieux, il y a des gens bienveillants qui n'aspire qu'a aider  et d'autre qui ne pense qu'au profit, des charlatants! C'est la même chose dans le milieu médical. Ce qui est le plus important est de participer, de contribuer à l"évolution de cette partie de la médecine.

A bientôt

 

 

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